Julie Mercier - La Terre de chez nous - 25 avril 2018
- Le président de la Fédération québécoise des municipalités (FQM), Jacques Demers, estime qu’après 40 ans, la Loi mériterait une cure de jeunesse afin « d’avoir plus de gros bon sens local ». « La Loi devrait être renforcée là où la pression est la plus forte. Où elle l’est moins, peut-être que l’on pourrait libérer la Commission et créer des instances régionales en accord avec la Loi », estime le président de l’Union des producteurs agricoles, Marcel Groleau.
En février 2017, la Commission a autorisé cette demande « unique et novatrice » de la MRC de - L’Érable, une première au Québec. « C’est une grande ouverture de la part de la Commission, de déléguer ses pouvoirs à une MRC pour autoriser de l’agriculture à temps partiel », reconnaît Solange Thibodeau, conseillère au développement agroalimentaire à la MRC. « Il y a quand même beaucoup de critères à respecter. Ça ne prend pas juste trois érables et deux lapins », illustre-t-elle. La MRC a mis en place un « paquet de mesures d’accompagnement et de mentorat » pour bien encadrer ses néo-ruraux, qui formeront la nouvelle « communauté de fermiers de L’Érable ».
En février 2017, la Commission a autorisé cette demande « unique et novatrice » de la MRC de - L’Érable, une première au Québec. « C’est une grande ouverture de la part de la Commission, de déléguer ses pouvoirs à une MRC pour autoriser de l’agriculture à temps partiel », reconnaît Solange Thibodeau, conseillère au développement agroalimentaire à la MRC. « Il y a quand même beaucoup de critères à respecter. Ça ne prend pas juste trois érables et deux lapins », illustre-t-elle. La MRC a mis en place un « paquet de mesures d’accompagnement et de mentorat » pour bien encadrer ses néo-ruraux, qui formeront la nouvelle « communauté de fermiers de L’Érable ».