Billie-Anne Leduc - La Voix de l'Est - 14 juin 2020
Un ours noir a été aperçu sur le chemin du Verger-Modèle, à Frelighsburg, samedi soir vers 19h.«Ça fait environ un mois que moi et mes voisins on en voit qui rôdent. Il y a trois ou quatre semaines, il y en avait un dans ma cour.... Plusieurs ours noirs ont été aperçus l’an passé dans le village, «même dans le parc municipal». Selon elle, ils seraient de plus en plus nombreux ces dernières années à venir rôder près de Frelighsburg.Si l’ours représente des problèmes de sécurité publique en se montrant agressif, il est recommandé de communiquer avec la ligne SOS Braconnage, qui est une ligne disponible 24 heures par jour, 7 jours sur 7.
:Liens: SOS Braconnage
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Un ours aperçu à Frelighsburg
Cynthis Laflamme - La Voix de l'Est - 26 juillet 2019
Un ou des ours noirs ont été aperçus à Frelighsburg dans les derniers jours. L’un d’eux se trouvait sur le terrain arrière d’une maison située entre les chemins du Pinacle et du Lac Selby, près de Dunham.interpellé par La Voix de l’Est, Nicolas Bégin, porte-parole du ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs, rappelle quelques mesures préventives pour éviter la visite d’un ours noir chez soi. « Tout d’abord, il ne faut jamais nourrir un ours, que ce soit intentionnellement ou non. Il faut entreposer les ordures hors de la portée des ours et nettoyer les équipements extérieurs, comme les grilles de cuisson du barbecue et la poubelle afin d’éliminer les odeurs qui peuvent attirer les ours. »
Une voiture percute un ours à Frelighsburg
Des ours ravagent un champ de maïs
Une voiture percute un ours à Frelighsburg
Karine Blanchard - La Voix de l'Est - 5 juillet 2019
Un couple de Stanbridge East a été quitte pour une bonne frousse lorsque leur véhicule en a percuté un au beau milieu du chemin Pinacle, à Frelighsburg, mardi soir.
Cynthis Laflamme - La Voix de l'Est - 26 août 2018
Un producteur laitier de Sutton prend les grands moyens pour faire fuir les ours qui ravagent ses terres depuis le début de la semaine. Armé de ses carabines et aidé d’amis, Jean-Philippe Larivière se rend chaque soir, depuis mercredi, à son champ de maïs pour faire fuir, en tirant des coups au sol, les imposantes bêtes.